Visualizzazioni totali

mercoledì 29 ottobre 2025

De eventu Rostrum navis nuntiante in acquis Aegatium nuperrime inventum



 Octavo die ante kalendas novembres in Museo Lilybaetano eventus mirificus celebratus est maxima cum pompa. Apud litus boum dictum bucinae sonantes percutiebant aera nuntio ingentis INVENTUS qui per retia mediatica dein effundebatur, auxilio adstantium in akroasi adiuvante. Mulier quaedam ex iis, cuius bucina sonitus sine mora auxit cum se iactantem putare ob praesentiam suam inter non multos adstantes, retulit hoc nuntium de inventu apud aquas marinas Aegatium. Agitur  de rostro navis bellicae navigantis per maria secundi saeculi a. aet. vulg. Secundum relata mulieris, navis bellica particeps fuit vel debuit esse belli ex quo parvula Aegatium insula victrix evaserit. Mea sententia forsitan fallaci, sed Silvio Italico aderente, mare nostrum eo momento vidit duas potentias inimicas se sibi conferre furorem Martis alteram   partem vehementer aggrediens. Ita navis submersa in acquis propinquioribus vel pertinere debuit ad potentias vel ad actus piratarum qui  damna ingentia non minore canglore partibus vicinioribus afferebant. Rostrum, ex aere cofectum, debuit proprium esse navis potentissimae et eius signaculum se vocitans ipsam ante partes inimicas. Puto portiones insulares, quae per tempora ex alienis potestatibus pendere suetae iam erant, minime bellum quodvis impendere posse, quod in alenis rebus versabantur se sponte actibus suis agentes.Nisi per alienam  igitur voluntatem se implicitas reddere in campo bellico ubi verae potentiae servitudine earum facillime utebantur. Haec servitudo per tempora perduravit et adhuc perdurat. Ex eo fit ut si una ex parte nuntium vetustissimum accipimus toto corde gratissimi, altera ex parte assertionem recusemus secundum quam Rostrum pertinet ad navem bellicam quam incolae insulares ad bellum temporis illius trahere potuerunt.

 Joachim professor Grupposo, Pridie  Kalendas novembres Bis millesimo vigesimo quinto. Diis semper gratus. 

martedì 28 ottobre 2025

Compte rendu de la séance culturelle du 10 octobre 2025




Le 10 octobre 2025  eut lieu dans la salle d’audience du Lycée Rosina Salvo l’énième conférence du Professeur Victor Huntondyi, cette fois élargie à d’autres partenaires,englobés dans le réseau de communication.

Il s’agissait du Lycée “ Allmayer” de Alcamo et de l’Université du Bénin “Abomey-Calavi.L’occasion de ce relais inusuel est venue de la célébration, dans cette Université, du Festival des Arts et de la culture. Il faut dire que cette curieuse initiative élargie était justifiée et renforcée par l’attachement sentimental à ce centre culturel africain par le fait que le  susdit professeur y avait enseigné Langue et littérature française dans sa jeunesse.L’ambiance de la conférence a été des plus agréables,d’autant que l’essai préliminaire effectué des jours avant n’avait préssenti rien de bon.

Les participants étaient: le prof.G.Grupposo et la professeure Rosaria Bonfiglio pour le Lycée R.Salvo.

La  professeure Patrizia Barone pour Alcamo.

M.Komi Ezin pour le Bénin.

Le thème de la conférence repreinait  celui du réveil de la créativité chez les jeunes,appuyée cette fois par un “exemplum littérarium.”La production littéraire datant de la première jeunesse et rapportant des événements autobiographiques amoureux. Contrairement aux critères du plan programmatique de la séance,prévoyant la plongée “in librum” par l’auteur et à la suite d’une brève introduction de m.Huntondji,on est immédiatement allés aux questions préparées par les participants.

Toutefois on est obligés de ne pas omettre la très belle exegèse  synthétique de Mme Olga D’Angelo,invitée spéciale et à présent professeure à la retraite “summo cum gaudio”Dans ce compte rendu Mme Olga  a le plaisir de relater d’une manière brève le commentaire du peti recit autobiographique de M. Huntondj en souvenir de ce moment d’agrégation.

                                               “Deux filles …un reve fugitif”

L’éducation sentimentale de l’auteur Monsieur Victor Hountonjqu’qujourd’hui est virtuellement présent ici est sans doute un argument qui frappe les coeurs des adolescents et donc des élèves réunis dans cette salle. Le titre de ce petit récit vous fera réfléchir sur les mécanismes de l’amour sous un profil tout à fait nouveauc’est-à-dire on plonge dans le monde des reves,des fantaisies d’amour qu’un jeune garçon ou une jeune fille commencent à imaginer sur les bancs de l’école.

Qui n’a jamais éprouvé un sentiment indéfinissable pour une camarade ou un camarade?Ce sera l’objet de notre discussion.

J’essaie de résumer le texte objet de notre rencontre. Il s’agit d’un texte de 14 pages avec un prologue et un épilogue. Dans le prologue le narrateur déjà un homme mur savoure les joies de l’amour avec une jeune femme Carole .Sa sensualité,la perfection de son corps,son attitude passionnée envers cet homme l’attirent énormément.Et c’est juste pour ça que la jeune femme doute un peu de son amour.Elle sera démentie par le narrateur meme qui lui déclaretout son amour qui à présent n’est plus platonique comme auparavant.

Et c’est ansi qu’il commence à lui raconter. Premiers battements de coeur à l’école(on est dans les années “67-“68) pour une jeune fille Frida. Il commence à rever d’un amour idéal.Il projète sur elle les élans de son coeur silencieusement. Il essaie de dire à Frida qu’il la désire,qu’il l’aime de toutes ses forces mais peu à peu  il se rend compte de sa superficialité, de son égoisme,de son comportement coquin car à l’amour déclaré elle répond:”je n’ai pas le temps.”Toutefois fière d’etre aimée elle lui lance des regards de feu.Phrase clé du narrateur au sujet de cet amour est:”Ne m’en veux pas si…Je n’ai plus répondu à tes regards de feu. Je ne t’aimais plus car je t’avais aimée”

Juliette l’autre fille dont le narrateur tombe amoureux n’a pas été un coup de foudre. Il entend crier son nom mais il a quelques hésitations à la reconnaitre et une étrange association avec Lisbeth prénom issu du roman de Balzac ”La cousine Bette”qui était moins jolie par rapport à Adeline l’autre héroine du roman,le pousse à ne pas entendre bien le vrai prénom c’est à dire Juliette.Il focalise son attention sur la jeune fille lorsqu’elle lui dit ingenument d’avoir demandé des nouvelles sur son frère Alain. A ce point-ci il commence à apprécier la simplicité de sa nature. La rencontre quelques jours après de Frida qui lui lançait des regards passionnés ne le touche plus. Il ne l’aime plus et en outre il commence à voir des défauts  dans son corps,dans son visage,dans sa peau,une laideur en tant que déformation de l’ame d’une fille frivole,flirteuse,séductrice et incapable d’aimer.

Ce sera à Juliette qu’il ira dédier des poèmes. Ils vont danser ensemble dans une soirée de bal  mais la jeune fille ne répondra pas à son amour en lui disant qu’elle ne pouvait pas aimer “deux personne à la fois”. Il faut cueillir la rose à l’instant parce que demain ce sera trop tard” avait dit à peu près Pierre de Ronsard dans ses sonnetsmais  notre narrateur l’aimait d’un amour pur, il la vénérait comme une déesse.

Enfin il répondra à Carole qu’il l’aime profondément soit dans son corps soit dans son ame. 

   

 

Parmi les élèves de la filière linguistique se trouvaient aussi ceux  de Sciences Humaines de Mme Bonfiglio,voulant par leur présence signifier la vaste portée aussi  antropologique de l’expérience amoureuse.Si les questions se sont croisées  d’un coté(Alcamo) et de l’autre(Trapani)sur le rapport entre littérature et vie,auxquelles l’écrivain a répliqué en insistant sur le” témoignage” incontournable de la vie,sans pour autant oublier l’apport de l’orientation sociologique des élèves de Mme Bonfiglio,les responsables du Bénin ont tenu à préciser la priorité de l’expérience linguistique comme fondement indépassable de toute expression narrative( on peut  ici  se bien passer de la complaisance autolatrique de matrice métropolitaine qui malgré tout émerge).Ce qui importe ici de relever c’est le fond situationnel sur lequel s’est dégagé l’ambiance africaine:beau parler ,belles images,présentation impeccable tout écran des élèves africains, au sujet desquels on se doit de dire que la formulation de l’une de leurs questions concernant la position de la culture scolaire face à la littératurenous a été à nous italiens,particulièrement agréable”.Africa docet vos”,aurait biendit Augustin D’Hippone.

Enfin ,contre meme notre volonté, l’heure limite de la conférence passée par rapport à nous, on a été obligés de couper la suite de la communication que nous avons souhaité de poursuivre sous les auspices de l’écrivain.

Trapani ,10 ottobre 2025                                                                        Les profs

                                                                                                          Gioacchino Grupposo

                                                                                                           Olga D’Angelo

                                                                                                                        


martedì 14 ottobre 2025

Commemoratio.Renati in memoriam Lo Schiavo. Per aspera ad astra.

 



Nuntio ferali septembre ineunte vix audito viri tam insignis decessus, fulgore repentino percussus, titubare coepi et, si spiritus animum firmum non reddidisset, humum cito procumbere potuissem. Illum virum, cui Renatus Lo Schiavo, notum non per experentiam intimiorem solida amicitia sed per nomen recurrens per tempora et loca, iam praesentem in mente habebam. Eo etenim tempore,quo in commercio fui cum professore Romano,viro peritissimo Sermone Latino loquendi, cui Horatius Bologna, in caelo lycaei classici Drepanensis duo astra refulgebant:unus, cui Maximus Bruno, ductu gravis et in studium magis interius intentus, alter, cui Renatus, hilaris, iucundus, ad multiplicia oblectamenta invenienda aptus et paratus(nam lectio cum discipulis semper iucunda erat et saepius musicis momentis eam comitari cupiebat). Ceterum, Renatus, non minus quam Maximus, in eruditione colenda versatus erat.

 His rebus mihi notis, anno quodam, professore Romano adesentiente, Renatum non pauco tremore et timore quaesivi usque loco suo definito et eum alloqui conatus sum. Illico, transacta feliciter incertitudine et timiditate, maximam in eo ad loquendum inclinationem laetissimam expertus sum. Ei inde dixi akroasim in lycaeo nostro velle instituere praesente professore Romano per viam interretialem. Adsensum suum statim habuit, certiorem me faciens de adventu suo cum  discipulis. Quod fecit. Altera vice instituere volui akroasim in lycaeo suo semper cum professore Romano per viam mediaticam. Hac in occasione professora nostra, nunc  beatissima in vita privata, cum discipulis suis venit et particeps fuit lectionis magistralis professoris Romani Latino Sermone utentis.Etsi perraris occasionibus in Renatum contigit ut inciderem, sine ulteriore accessu assiduo, tamen in re tangere indolem suavissimam et iucundissimam potui. Inclinis ad locutionem sine superbia, amabiliter verbum suum proferebat cum scientia et nitore. Discipuli eum colebant amore et maxima cura eum sequebantur, adeo ut innumeri ritui funerario adfuturi sint lugentes et flentes maximae causa tristitiae.. Memini annos abhinc aliquos akroasim Maximum instituere voluisse de tragoedia Graeca sub aspectu philologico, hac in occasione, cum fuissem primus inter adstantes, locutor a me petivit quam doctrinam scolasticam proferrem et me  pudor ingens(quia mente fingebam alias doctrinas quam suam spernere posse) me impedivit quin animo aperto verum meum confiterer. Non ita me egi cum Renato cum in eum inciderem  occasione akroaseos philosophi cui nome Diegus Fusaro. Eo momento Renatus me certiorem fecit de extensione doctrinarum  vastissima, cui respondi maxima facilitate, sine ullo impedimento psychologico. Si Maximus se naturaliter imponebat, e contrario Renatus se sponte proponebat sine parenthesi intermissoria. Plus: tam Musas diligebat, ut, assecla Euterpes cultus, discipulos duceret ad musicam aestimandam(ni fallor, ipse musicus fuit), et,  amor pius ut in rem verteret,quoque fere anno modos musicos cum discipulis conficiebat pro institutione sua(pluralia instrumenta ad musicam apta vidi die qua fui in lycaeo suo). Cum Animus delicatus ei esset, se moribus optimis  gerere scivit cum mulieribus, quas amavit intenso ardore (minime stupui die quadam eum vidi  nexu intimo cum iam professora apud nos et nunc aliunde praeside, muliere pulcherrima et optima indole). Mos paganorum in hoc consistit:ne credant aeternam psychen putant spiritum redire ad fontem(Seneca ad Lucilium). Non omnis morietur:certissime in recordatione et memoria(de qua  dubium res humanae inducunt), at spes anteponatur fore ut Renatus acceptus sit in astris totus et ibi considat cum deis. Postrema notatio addenda pro Maximo est. Antequam conclave intrarem ubi akroasim expleret de tragedia Graeca ipse in via mihi qui ignotus ei erat confessus est visu laborare, oculos suos lecturam consequenter sequi non posse nisi per computatrum. Quod monstrat humanitatem suam. Eodem modo Renatus sine intermissione principia humanae vitae ostentavit et vixit:humanitatem, urbanitatem, suavitatem.'Gentilis' fuit vir:vixit secundum Maiorum morem.
 
Prof. Gioacchino Grupposo. 

lunedì 6 ottobre 2025

SI CONCLUDE IL FESTIVAL "LE VIE DEI TESORI" PER LE CLASSI PROTAGONISTE DELL' EVENTO FORMATIVO




 Si è concluso domenica 5 ottobre, per Trapani, Alcamo e Mazara del Vallo, l'ultimo weekend della  IX edizione del festival  “ Le Vie dei Tesori” : dal 20 di settembre al 5 di ottobre si sono incrociati itinerari diversi, tra il sacro e il profano, dall’aeroporto militare di Birgi alle chiese barocche del centro storico, passando per le residenze nobiliari e le visite teatralizzate.

Un viaggio che ha visto protagonisti più di 1500 ragazzi delle scuole delle diciassette città della Sicilia e che continuerà fino al 16 di Novembre. 

Tra le novità di quest’ultima edizione, a Trapani, abbiamo visto l’apertura dell’aeroporto militare Trapani-Birgi, per  scoprire hangar, reparti e velivoli pronti al decollo:

 scoperta Villa Immacolatella, baglio francescano trasformato in dimora botanica unica; e il raffinato Villino Nasi che ritorna nel festival dopo tre anni, gioiello Liberty affacciato sul mare 

Ha riaperto le sue porte l'antica Corte delle Ninfee, antico monastero domenicano, oggi residenza privata, con il suo giardino nascosto e la famosa "ruota degli esposti" per i bambini abbandonati ; l’arte contemporanea trova invece casa nel Museo San Rocco.

Tra le numerose chiese visitabili, dalla più imponente, la cattedrale di San Lorenzo  al Collegio dei Gesuiti con una commovente Immacolata del Marabitti , dove hanno fatto da guida gli alunni delle classi quarte A e G, alternandosi tra la quest’ultima e Villa Immacolatella. Tra gli alunni, divenuti protagonisti di questo evento, Nolfo Milena della 4^A ha concluso questa esperienza con la seguente valutazione :

“La partecipazione al progetto La Via dei Tesori è stata un’esperienza estremamente significativa, sia dal punto di vista culturale che personale. Ho avuto l’opportunità di conoscere e approfondire la storia e le bellezze del nostro territorio, scoprendo luoghi di grande valore artistico e storico che spesso vengono trascurati.

Oltre all’aspetto educativo, questa esperienza ha rappresentato per me anche un importante momento di crescita personale. Mi ha aiutato ad aprirmi maggiormente agli altri, a migliorare le mie capacità comunicative e relazionali, e a gestire con più consapevolezza l’ansia in situazioni nuove o impegnative.

 La Via dei Tesori è stata un’iniziativa non solo formativa, ma anche profondamente arricchente dal punto di vista umano, che consiglio vivamente a chi desidera vivere un’esperienza di scoperta, confronto e crescita personale”.


Classe 4^ A Scienze Umane